Statistiques
Nous avons 2265 membres enregistrésL'utilisateur enregistré le plus récent est THEO 16
Nos membres ont posté un total de 46248 messages dans 4109 sujets
Sujets similaires
Rejoignez-nous sur...
Rejoignez-nous sur Facebook
Plus de 2000 membres
L'idéal pour être au courant de toutes les activités de l'association
_______________
La Corpo à l'écoute de vos projets...
Local 137 au 1er étage de la Faculté
20 janvier
+2
Edouard
wesker
6 participants
JURISNANTES - Forum de la Corpo des étudiants en Droit de Nantes :: Enseignements par niveau d'étude :: Le Campus :: Vie pratique estudiantine :: Discussions générales - Culture générale :: Actualités, politique et faits de sociétés
Page 1 sur 1
20 janvier
pour tout ceux qui ne le savent pas encore barack obama sera investit bientôt président des USA, bon pour beaucoup de personne ca sera un jour historique car il changera le monde (hum, sur ça j'ai peur) mais pour tout les obamaniaque irraisonés qui comme certains en france, Obama va faire beaucoup mieux et sera plus doué que George W Bush et qu'il respectera plus ses alliés (les européens vivent vraiment au pays des barbapapas) qu'is era mutlilatéralsites (en ce moment ca serait risqué), voici un article qui remet les pendules à l'heure.
Charles Krauthammer, éditorialiste du Washington Post, note que Harry Truman fut détesté de son vivant et sa réhabilitation prit plusieurs années. Avec Bush, ce sera beaucoup plus rapide, dit-il. En fait, Barack Obama et son "changement-dans-la-continuité", ayant déjà trahi les trois quarts de ses promesses de campagne, en promulguant des baisses d'impôts, en conservant un Secrétaire à la Défense républicain et en envoyant des troupes de renfort en Afghanistan, donne raison à Bush a posteriori.
Les Démocrates, les Européens et les pays du Tiers Monde ont renoncé à faire l'Histoire depuis longtemps. Ils se contentent du rôle de spectateur et, une fois au pouvoir, d'imitateur. Malgré le brassage de vent de la gauche, la révolution Obama n'aura pas lieu, au contraire. La révolution Bush est trop forte pour être contrée. Obama sera un Président "après-Bush" tout comme Clinton aura été un Président "avant-Bush". On sait tous combien la présidence Clinton est une parenthèse historique sans intérêt.
Lorsque le jeune Président Bush, inexpérimenté, apprit, le 11 septemnbre 2001, qu'il allait devoir gérer l'attentat le plus meurtrier de l'histoire des Etats-Unis, personne ne pensait qu'il réussirait. Pourtant, pendant les sept années suivantes, l'Amérique n'a connu aucun attentat, a renversé deux régimes au coeur de la poudrière moyen-orientale, libéré près de cinquante millions de personnes, organisé les deux premières élections libres de l'histoire du monde musulman et, pour la première fois de l'histoire, jugé un dictateur criminel de guerre et le faire condamner par ses victimes.
C'est peu dire si l'ère Bush a changé la face du monde.
George W. Bush rejoint Ronald Reagan, Harry Truman, Franklin Delano Roosevelt, Abraham Lincoln et les Pères fondateurs. Et, si les historiens commencent à peine à mesurer l'ampleur de sa trace sur l'histoire contemporaine, les autres ont compris qu'avec Bush, les Etats-Unis ont mené la plus grande révolution géopolitique mondiale depuis la chute du mur de Berlin.
On se souviendra de lui.
George W. Bush, 43e Président des Etats-Unis, a été l'un des dirigeants les plus influents de l'histoire de l'Amérique.
Charles Krauthammer, éditorialiste du Washington Post, note que Harry Truman fut détesté de son vivant et sa réhabilitation prit plusieurs années. Avec Bush, ce sera beaucoup plus rapide, dit-il. En fait, Barack Obama et son "changement-dans-la-continuité", ayant déjà trahi les trois quarts de ses promesses de campagne, en promulguant des baisses d'impôts, en conservant un Secrétaire à la Défense républicain et en envoyant des troupes de renfort en Afghanistan, donne raison à Bush a posteriori.
Les Démocrates, les Européens et les pays du Tiers Monde ont renoncé à faire l'Histoire depuis longtemps. Ils se contentent du rôle de spectateur et, une fois au pouvoir, d'imitateur. Malgré le brassage de vent de la gauche, la révolution Obama n'aura pas lieu, au contraire. La révolution Bush est trop forte pour être contrée. Obama sera un Président "après-Bush" tout comme Clinton aura été un Président "avant-Bush". On sait tous combien la présidence Clinton est une parenthèse historique sans intérêt.
Lorsque le jeune Président Bush, inexpérimenté, apprit, le 11 septemnbre 2001, qu'il allait devoir gérer l'attentat le plus meurtrier de l'histoire des Etats-Unis, personne ne pensait qu'il réussirait. Pourtant, pendant les sept années suivantes, l'Amérique n'a connu aucun attentat, a renversé deux régimes au coeur de la poudrière moyen-orientale, libéré près de cinquante millions de personnes, organisé les deux premières élections libres de l'histoire du monde musulman et, pour la première fois de l'histoire, jugé un dictateur criminel de guerre et le faire condamner par ses victimes.
C'est peu dire si l'ère Bush a changé la face du monde.
George W. Bush rejoint Ronald Reagan, Harry Truman, Franklin Delano Roosevelt, Abraham Lincoln et les Pères fondateurs. Et, si les historiens commencent à peine à mesurer l'ampleur de sa trace sur l'histoire contemporaine, les autres ont compris qu'avec Bush, les Etats-Unis ont mené la plus grande révolution géopolitique mondiale depuis la chute du mur de Berlin.
On se souviendra de lui.
George W. Bush, 43e Président des Etats-Unis, a été l'un des dirigeants les plus influents de l'histoire de l'Amérique.
Dernière édition par wesker le Ven 16 Jan 2009 - 19:08, édité 1 fois
wesker-
Nombre de messages : 221
Age : 38
Ville : au centre de nantes, mais vraiment centre
niveau d'étude : UCLA: graduate 1st level
0 Date d'inscription : 09/08/2008
Re: 20 janvier
January 16, 2009
Exit Bush, Shoes Flying
By Charles Krauthammer
WASHINGTON — Except for Richard Nixon, no president since Harry Truman leaves office more unloved than George W. Bush. Truman’s rehabilitation took decades. Bush’s will come sooner. Indeed, it has already begun. The chief revisionist? Barack Obama.
Vindication is being expressed not in words but in deeds — the tacit endorsement conveyed by the Obama continuity-we-can-believe-in transition. It’s not just the retention of such key figures as Secretary of Defense Bob Gates or Treasury Secretary nominee Timothy Geithner, who, as president of the New York Fed, has been instrumental in guiding the Bush financial rescue over the last year. It’s the continuity of policy.
It is the repeated pledge to conduct a withdrawal from Iraq that does not destabilize its new democracy and that, as Vice President-elect Joe Biden said just this week in Baghdad, adheres to the Bush-negotiated status of forces agreement that envisions a U.S. withdrawal over three years, not the 16-month timetable on which Obama campaigned.
It is the great care Obama is taking in not pre-emptively abandoning the anti-terror infrastructure that the Bush administration leaves behind. While still a candidate, Obama voted for the expanded presidential wiretapping (FISA) powers that Bush had fervently pursued. And while Obama opposes waterboarding (already banned, by the way, by Bush’s CIA in 2006), he declined George Stephanopoulos’ invitation (on ABC’s “This Week”) to outlaw all interrogation not permitted by the Army Field Manual. Explained Obama: “Dick Cheney’s advice was good, which is let’s make sure we know everything that’s being done,” i.e., before throwing out methods simply because Obama campaigned against them.
Obama still disagrees with Cheney’s view of the acceptability of some of these techniques. But citing as sage the advice offered by “the most dangerous vice president we’ve had probably in American history” (according to Joe Biden) — advice paraphrased by Obama as “we shouldn’t be making judgments on the basis of incomplete information or campaign rhetoric” — is a startlingly early sign of a newly respectful consideration of the Bush-Cheney legacy.
Not from any change of heart. But from simple reality. The beauty of democratic rotations of power is that when the opposition takes office, cheap criticism and calumny will no longer do. The Democrats now own Iraq. They own the war on al-Qaeda. And they own the panoply of anti-terror measures with which the Bush administration kept us safe these last seven years.
Which is why Obama is consciously creating a gulf between what he now dismissively calls “campaign rhetoric” and the policy choices he must now make as president. Accordingly, Newsweek — Obama acolyte and scourge of everything Bush/Cheney — has on the eve of the Democratic restoration miraculously discovered the arguments for warrantless wiretaps, enhanced interrogation and detention without trial. Indeed, Newsweek’s neck-snapping cover declares, “Why Obama May Soon Find Virtue in Cheney’s Vision of Power.”
Obama will be loath to throw away the tools that have kept the homeland safe. Just as he will be loath to jeopardize the remarkable turnaround in American fortunes in Iraq.
Obama opposed the war. But the war is all but over. What remains is an Iraq turned from aggressive, hostile power in the heart of the Middle East to an emerging democracy openly allied with the United States. No president would want to be responsible for undoing that success.
In Iraq, Bush rightly took criticism for all that went wrong — the WMD fiasco, Abu Ghraib, the descent into bloody chaos in 2005-06. Then Bush goes to Baghdad to ratify the ultimate post-surge success of that troubled campaign — the signing of a strategic partnership between the U.S. and Iraq — and ends up dodging two size-10 shoes for his pains.
Absorbing that insult was Bush’s final service on Iraq. Whatever venom the war generated is concentrated on Bush himself. By having personalized the responsibility for the awfulness of the war, Bush has done his successor a favor. Obama enters office with a strategic success on his hands — while Bush leaves the scene taking a shoe for his country.
Which is why I suspect Bush showed such equanimity during a private farewell interview at the White House a few weeks ago. He leaves behind the sinews of war, for the creation of which he has been so vilified but which will serve his successor — and his country — well over the coming years. The very continuation by Democrats of Bush’s policies will be grudging, if silent, acknowledgement of how much he got right.
letters@charleskrauthammer.com
Copyright 2009, Washington Post Writers Group
Exit Bush, Shoes Flying
By Charles Krauthammer
WASHINGTON — Except for Richard Nixon, no president since Harry Truman leaves office more unloved than George W. Bush. Truman’s rehabilitation took decades. Bush’s will come sooner. Indeed, it has already begun. The chief revisionist? Barack Obama.
Vindication is being expressed not in words but in deeds — the tacit endorsement conveyed by the Obama continuity-we-can-believe-in transition. It’s not just the retention of such key figures as Secretary of Defense Bob Gates or Treasury Secretary nominee Timothy Geithner, who, as president of the New York Fed, has been instrumental in guiding the Bush financial rescue over the last year. It’s the continuity of policy.
It is the repeated pledge to conduct a withdrawal from Iraq that does not destabilize its new democracy and that, as Vice President-elect Joe Biden said just this week in Baghdad, adheres to the Bush-negotiated status of forces agreement that envisions a U.S. withdrawal over three years, not the 16-month timetable on which Obama campaigned.
It is the great care Obama is taking in not pre-emptively abandoning the anti-terror infrastructure that the Bush administration leaves behind. While still a candidate, Obama voted for the expanded presidential wiretapping (FISA) powers that Bush had fervently pursued. And while Obama opposes waterboarding (already banned, by the way, by Bush’s CIA in 2006), he declined George Stephanopoulos’ invitation (on ABC’s “This Week”) to outlaw all interrogation not permitted by the Army Field Manual. Explained Obama: “Dick Cheney’s advice was good, which is let’s make sure we know everything that’s being done,” i.e., before throwing out methods simply because Obama campaigned against them.
Obama still disagrees with Cheney’s view of the acceptability of some of these techniques. But citing as sage the advice offered by “the most dangerous vice president we’ve had probably in American history” (according to Joe Biden) — advice paraphrased by Obama as “we shouldn’t be making judgments on the basis of incomplete information or campaign rhetoric” — is a startlingly early sign of a newly respectful consideration of the Bush-Cheney legacy.
Not from any change of heart. But from simple reality. The beauty of democratic rotations of power is that when the opposition takes office, cheap criticism and calumny will no longer do. The Democrats now own Iraq. They own the war on al-Qaeda. And they own the panoply of anti-terror measures with which the Bush administration kept us safe these last seven years.
Which is why Obama is consciously creating a gulf between what he now dismissively calls “campaign rhetoric” and the policy choices he must now make as president. Accordingly, Newsweek — Obama acolyte and scourge of everything Bush/Cheney — has on the eve of the Democratic restoration miraculously discovered the arguments for warrantless wiretaps, enhanced interrogation and detention without trial. Indeed, Newsweek’s neck-snapping cover declares, “Why Obama May Soon Find Virtue in Cheney’s Vision of Power.”
Obama will be loath to throw away the tools that have kept the homeland safe. Just as he will be loath to jeopardize the remarkable turnaround in American fortunes in Iraq.
Obama opposed the war. But the war is all but over. What remains is an Iraq turned from aggressive, hostile power in the heart of the Middle East to an emerging democracy openly allied with the United States. No president would want to be responsible for undoing that success.
In Iraq, Bush rightly took criticism for all that went wrong — the WMD fiasco, Abu Ghraib, the descent into bloody chaos in 2005-06. Then Bush goes to Baghdad to ratify the ultimate post-surge success of that troubled campaign — the signing of a strategic partnership between the U.S. and Iraq — and ends up dodging two size-10 shoes for his pains.
Absorbing that insult was Bush’s final service on Iraq. Whatever venom the war generated is concentrated on Bush himself. By having personalized the responsibility for the awfulness of the war, Bush has done his successor a favor. Obama enters office with a strategic success on his hands — while Bush leaves the scene taking a shoe for his country.
Which is why I suspect Bush showed such equanimity during a private farewell interview at the White House a few weeks ago. He leaves behind the sinews of war, for the creation of which he has been so vilified but which will serve his successor — and his country — well over the coming years. The very continuation by Democrats of Bush’s policies will be grudging, if silent, acknowledgement of how much he got right.
letters@charleskrauthammer.com
Copyright 2009, Washington Post Writers Group
wesker-
Nombre de messages : 221
Age : 38
Ville : au centre de nantes, mais vraiment centre
niveau d'étude : UCLA: graduate 1st level
0 Date d'inscription : 09/08/2008
Re: 20 janvier
:cartonne:
Edouard-
Nombre de messages : 90
niveau d'étude : L1
0 Date d'inscription : 30/12/2007
Re: 20 janvier
en même temps mieux que bush c'est pas drôle, c'est pire qu'il faudrait essayer, là c'est un vrai défi. Yes they can.
minifoie-
Nombre de messages : 2584
Age : 39
niveau d'étude : licence 3, encore!!!
1 Date d'inscription : 20/03/2007
Re: 20 janvier
mwé enfin bon la gueule de bois du 21 risque d'être sévère
wesker-
Nombre de messages : 221
Age : 38
Ville : au centre de nantes, mais vraiment centre
niveau d'étude : UCLA: graduate 1st level
0 Date d'inscription : 09/08/2008
Re: 20 janvier
wesker a écrit:pour tout ceux qui ne le savent pas encore barack obama sera investit bientôt président des USA, bon pour beaucoup de personne ca sera un jour historique car il changera le monde (hum, sur ça j'ai peur) mais pour tout les obamaniaque irraisonés qui comme certains en france, Obama va faire beaucoup mieux et sera plus doué que George W Bush et qu'il respectera plus ses alliés (les européens vivent vraiment au pays des barbapapas) qu'is era mutlilatéralsites (en ce moment ca serait risqué), voici un article qui remet les pendules à l'heure.
Charles Krauthammer, éditorialiste du Washington Post, note que Harry Truman fut détesté de son vivant et sa réhabilitation prit plusieurs années. Avec Bush, ce sera beaucoup plus rapide, dit-il. En fait, Barack Obama et son "changement-dans-la-continuité", ayant déjà trahi les trois quarts de ses promesses de campagne, en promulguant des baisses d'impôts, en conservant un Secrétaire à la Défense républicain et en envoyant des troupes de renfort en Afghanistan, donne raison à Bush a posteriori.
Les Démocrates, les Européens et les pays du Tiers Monde ont renoncé à faire l'Histoire depuis longtemps. Ils se contentent du rôle de spectateur et, une fois au pouvoir, d'imitateur. Malgré le brassage de vent de la gauche, la révolution Obama n'aura pas lieu, au contraire. La révolution Bush est trop forte pour être contrée. Obama sera un Président "après-Bush" tout comme Clinton aura été un Président "avant-Bush". On sait tous combien la présidence Clinton est une parenthèse historique sans intérêt.
Lorsque le jeune Président Bush, inexpérimenté, apprit, le 11 septemnbre 2001, qu'il allait devoir gérer l'attentat le plus meurtrier de l'histoire des Etats-Unis, personne ne pensait qu'il réussirait. Pourtant, pendant les sept années suivantes, l'Amérique n'a connu aucun attentat, a renversé deux régimes au coeur de la poudrière moyen-orientale, libéré près de cinquante millions de personnes, organisé les deux premières élections libres de l'histoire du monde musulman et, pour la première fois de l'histoire, jugé un dictateur criminel de guerre et le faire condamner par ses victimes.
C'est peu dire si l'ère Bush a changé la face du monde.
George W. Bush rejoint Ronald Reagan, Harry Truman, Franklin Delano Roosevelt, Abraham Lincoln et les Pères fondateurs. Et, si les historiens commencent à peine à mesurer l'ampleur de sa trace sur l'histoire contemporaine, les autres ont compris qu'avec Bush, les Etats-Unis ont mené la plus grande révolution géopolitique mondiale depuis la chute du mur de Berlin.
On se souviendra de lui.
George W. Bush, 43e Président des Etats-Unis, a été l'un des dirigeants les plus influents de l'histoire de l'Amérique.
Re: 20 janvier
serais tu désabusé par hasard?zguvus a écrit:
pharael-
Nombre de messages : 1761
Age : 39
Ville : Nantes, mais La Baule aussi
niveau d'étude : licence 3
-1 Date d'inscription : 11/11/2007
Re: 20 janvier
La zguvus je m'incline. Résumé la situation de façon concise et pertinente, la classe.
Edouard-
Nombre de messages : 90
niveau d'étude : L1
0 Date d'inscription : 30/12/2007
Re: 20 janvier
des qu'obama sera devenur president, notre ami wesker nous rapportera tous ses faits et gestes donc au moins on pourra avoir de la discution animée (ca met toujours un peu d'ambiance)
pharael-
Nombre de messages : 1761
Age : 39
Ville : Nantes, mais La Baule aussi
niveau d'étude : licence 3
-1 Date d'inscription : 11/11/2007
Re: 20 janvier
ah ca sans probleme ca s'annoncera comique a mons avis dès le 21 lol
wesker-
Nombre de messages : 221
Age : 38
Ville : au centre de nantes, mais vraiment centre
niveau d'étude : UCLA: graduate 1st level
0 Date d'inscription : 09/08/2008
Re: 20 janvier
j'ai bien aimé la phrase d'oBama "anything is possible" il a oublié à la fin.......especially the failure
wesker-
Nombre de messages : 221
Age : 38
Ville : au centre de nantes, mais vraiment centre
niveau d'étude : UCLA: graduate 1st level
0 Date d'inscription : 09/08/2008
Re: 20 janvier
alors wesk? pas trop nerveux pour demain? héhé
pharael-
Nombre de messages : 1761
Age : 39
Ville : Nantes, mais La Baule aussi
niveau d'étude : licence 3
-1 Date d'inscription : 11/11/2007
Re: 20 janvier
En fait t'es juste un bon gros troll toi hein?wesker a écrit:j'ai bien aimé la phrase d'oBama "anything is possible" il a oublié à la fin.......especially the failure
Allez, fournée quotidienne:
Re: 20 janvier
tu verras quia uras raison mon cher zguvus..
wesker-
Nombre de messages : 221
Age : 38
Ville : au centre de nantes, mais vraiment centre
niveau d'étude : UCLA: graduate 1st level
0 Date d'inscription : 09/08/2008
Re: 20 janvier
Je ne te parle pas d'avoir raison, mais de troller:
wikipedia a écrit:Sur les réseaux informatiques, notamment Internet et Usenet, on utilise le terme troll pour désigner, sur un espace de discussion (de type forum, newsgroup ou wiki), un utilisateur qui cherche à créer une polémique en provoquant les participants.
Re: 20 janvier
comme exemple du trollisme, le conflit israelo palestinien arrive en tête
minifoie-
Nombre de messages : 2584
Age : 39
niveau d'étude : licence 3, encore!!!
1 Date d'inscription : 20/03/2007
Re: 20 janvier
Il me semblait que la règle n°1 est don't feed the troll... Un peu comme pour les animaux au zoo
Dédess-
Nombre de messages : 141
Ville : Nantes
niveau d'étude : M2
0 Date d'inscription : 16/09/2008
Re: 20 janvier
En même temps, on est dans un espace de discussion droit et sciences politiques.
J'engage tout le monde à discuter de politique, dans des termes raisonnables et posés, sans insultes ni déviance du sujet initial.
Donc Obama a surement sa place ici.
Cdt.
J'engage tout le monde à discuter de politique, dans des termes raisonnables et posés, sans insultes ni déviance du sujet initial.
Donc Obama a surement sa place ici.
Cdt.
Invité- Invité
Sujets similaires
» AG 31 janvier
» info sur la grève du 29 janvier
» faites vos demande de bourses du 15 janvier au 30 avril
» info sur la grève du 29 janvier
» faites vos demande de bourses du 15 janvier au 30 avril
JURISNANTES - Forum de la Corpo des étudiants en Droit de Nantes :: Enseignements par niveau d'étude :: Le Campus :: Vie pratique estudiantine :: Discussions générales - Culture générale :: Actualités, politique et faits de sociétés
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum