"la femme dans la valise"

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N'empêche, je comprends pas pourquoi ils pensent jamais à les bruler

La femme dont le corps découpé avait été découvert dans deux valises la semaine dernière dans la région nantaise a été identifiée, a indiqué mardi soir une source proche de l'enquête. Les enquêteurs n'ont toutefois pas souhaité donner de précision sur l'identité de la victime, une femme blanche de 50 à 60 ans, mesurant 1,70 m et pesant entre 90 et 100 kg. Le tronc et les bras de cette femme, dont le bout des doigts avait été brûlé pour supprimer les empreintes digitales, avaient été découverts par un promeneur le 10 juin dans une valise flottant sur la Sèvre niortaise à Vertou, au sud de Nantes, près d'un parc très fréquenté.

Trois jours plus tard, la tête et les jambes de la victime étaient à leur tour trouvées dans une autre valise flottant sur un autre cours d'eau, l'Erdre, au nord-est de Nantes, à une dizaine de kilomètres du lieu de la première découverte. La découverte de la tête avait alors fourni de nouveaux indices qui ont permis d'aboutir à l'identification de la victime, notamment des empreintes dentaires laissant apparaître des soins récents. Les enquêteurs ont également pu diffuser une photo retouchée de la femme mystérieuse.

Un homme en garde à vue

Par ailleurs, un homme correspondant au portrait-robot établi dans l'enquête sur la mort de cette femme a été interpellé mardi à Nantes. L'homme a été arrêté en fin d'après-midi dans le quartier Beaulieu, sur l'île de Nantes, proche du centre-ville. Les enquêteurs disposaient d'un portrait-robot d'un homme d'une cinquantaine d'années, au teint clair et aux cheveux mi-courts, qui avait été repéré transportant une valise sur les lieux de la première découverte. Cet homme correspond "en tout point au portrait-robot", selon le commandant Bertrand Depierre, officier de communication de la gendarmerie des Pays de la Loire.

Les enquêteurs, qui disposent désormais d'un suspect et de l'identité de la victime, ne connaissent en revanche pas encore avec certitude les causes de sa mort. Selon les premiers résultats de l'autopsie, la victime présentait quelques ecchymoses sur le visage mais pas de traumatisme crânien. Le tronc ne portait pas davantage de traces de violences. Des "traces suspectes" sur son visage laissent penser qu'elle pourrait avoir succombé par asphyxie ou par suffocation, selon les enquêteurs, mais des expertises complémentaires sont en cours pour déterminer plus précisément les causes de la mort.

jennifer a écrit:du nouveau :

La femme dont le corps découpé avait été découvert dans deux valises la semaine dernière dans la région nantaise a été identifiée, a indiqué mardi soir une source proche de l'enquête. Les enquêteurs n'ont toutefois pas souhaité donner de précision sur l'identité de la victime, une femme blanche de 50 à 60 ans, mesurant 1,70 m et pesant entre 90 et 100 kg. Le tronc et les bras de cette femme, dont le bout des doigts avait été brûlé pour supprimer les empreintes digitales, avaient été découverts par un promeneur le 10 juin dans une valise flottant sur la Sèvre niortaise à Vertou, au sud de Nantes, près d'un parc très fréquenté.

Trois jours plus tard, la tête et les jambes de la victime étaient à leur tour trouvées dans une autre valise flottant sur un autre cours d'eau, l'Erdre, au nord-est de Nantes, à une dizaine de kilomètres du lieu de la première découverte. La découverte de la tête avait alors fourni de nouveaux indices qui ont permis d'aboutir à l'identification de la victime, notamment des empreintes dentaires laissant apparaître des soins récents. Les enquêteurs ont également pu diffuser une photo retouchée de la femme mystérieuse.

Un homme en garde à vue

Par ailleurs, un homme correspondant au portrait-robot établi dans l'enquête sur la mort de cette femme a été interpellé mardi à Nantes. L'homme a été arrêté en fin d'après-midi dans le quartier Beaulieu, sur l'île de Nantes, proche du centre-ville. Les enquêteurs disposaient d'un portrait-robot d'un homme d'une cinquantaine d'années, au teint clair et aux cheveux mi-courts, qui avait été repéré transportant une valise sur les lieux de la première découverte. Cet homme correspond "en tout point au portrait-robot", selon le commandant Bertrand Depierre, officier de communication de la gendarmerie des Pays de la Loire.

Les enquêteurs, qui disposent désormais d'un suspect et de l'identité de la victime, ne connaissent en revanche pas encore avec certitude les causes de sa mort. Selon les premiers résultats de l'autopsie, la victime présentait quelques ecchymoses sur le visage mais pas de traumatisme crânien. Le tronc ne portait pas davantage de traces de violences. Des "traces suspectes" sur son visage laissent penser qu'elle pourrait avoir succombé par asphyxie ou par suffocation, selon les enquêteurs, mais des expertises complémentaires sont en cours pour déterminer plus précisément les causes de la mort.

peut etre que ça calmera un peu la situation à vertou....

La femme en morceaux découverte la semaine dernière dans deux valises près de Nantes a été identifiée. Les enquêteurs ont arrêté mardi un de ses proches correspondant au portrait-robot d'un suspect dressé par des témoins.

L'homme placé en garde à vue en fin d'après-midi logeait dans l'appartement nantais de la victime, à proximité duquel il a été repéré et arrêté par deux gendarmes, selon les enquêteurs. Institutrice à la retraite, la victime fréquentait depuis plusieurs mois un homme que des voisins interrogés par l'AFP ont dit reconnaître sur le portrait-robot établi par les enquêteurs. Cette femme de 50 à 60 ans, mesurait 1,70 m et pesait entre 90 et 100 kg. Elle était plutôt solitaire, selon les témoignages recueillis par l'AFP auprès de ses voisins dans l'immeuble de neuf étages où elle habitait.

Toujours selon son voisinage, elle avait une fille d'une vingtaine d'années internée depuis un an en institution psychiatrique. Elle fréquentait "depuis l'hiver" l'homme du portrait-robot avec lequel plusieurs voisins ont indiqué l'avoir vue promener son chien. Des «traces suspectes» sur son visage laissent penser qu'elle pourrait avoir succombé par asphyxie ou par suffocation, selon les enquêteurs, mais des expertises complémentaires sont en cours pour déterminer plus précisément les causes de la mort.
L'homme a été interpellé mardi vers 17h25 sur l’île de Nantes dans le cadre de l’enquête sur la mort de cette quinquagénaire, dont le buste avait été découvert le 10 juin dans une première valise dans la Sèvre nantaise à Vertou. Sa tête et ses jambes avaient elles été retrouvées vendredi dans une seconde valise flottant dans l’Erdre, au nord de Nantes. Il correspond au portrait-robot du «témoin majeur» qui avait été vu tôt le 10 juin en train de tirer une valise à roulettes sur les bords de la Sèvre nantaise, à Vertou.

Ce quinquagénaire a été arrêté «sur la voie publique par deux gendarmes qui se trouvaient là par hasard», affirme le commandant Bertrand Depierre, de la région de gendarmerie des Pays de la Loire. «Ils l’ont reconnu grâce au portrait-robot, qui était de bonne facture, et se sont fait un devoir de l’arrêter.» L’homme était mardi soir en garde à vue à la gendarmerie de Rezé.

Un appartement que l’homme a occupé a également été perquisitionné allée de la Cité, près de l’arrêt de busway Tripode. On ignore s’il s’agit de celui de la victime, une femme qui pesait 90 kg pour 1,70 mètre.

Les riverains étaient mardi très surpris de l’arrivée des gendarmes au pied de leur immeuble. «C’est une résidence privée très calme», témoigne Claire, 20 ans, qui rentre avec son fils Younès, 3 ans, dans sa poussette. «Ici, il n’y a que des retraités et des couples.»

F. Perry/AFP ¦ Dans l'enquête sur la femme-tronc retrouvée près de Nantes, un portrait robot du meurtrier présumé a été réalisé.