coup de gueule

Il ne serait pas anodin de pointer du doigt les agissements de l'ufr de droit. La période transitoire du quadriennal ajouté au passage d'un nouveau logiciel entraîne un véritable capharnaüm pour arriver à suivre les cours enseignés à la Faculté de la L1 au M1. Il serait temps que l'administration se reprenne en main, car la situation, certes compréhensible, mais qui reste intolérable, pour ne pas dire inadmissible pour les étudiants.

Petit extraits choisis des bugs relevés :
- doublons entre matières obligatoires et facultatives, ce à quoi l'administration demande de choisir d'autres options : la conséquence logique surcharge sur le seule option qui n'est pas en doublon
- option supprimée pour manque de candidats, or le quota aurait été atteint si la passerelle avait été ouverte comme la tradition le voulait, comme encore l'année dernière. Cela n'est plus possible le nouveau logiciel ne le permet pas ou on doit étendre la durée des examens !
de ce fait des matières proposées dans le quadriennal ne sont pas accessibles (les étudiants n'ont toujours pas développer le don d'ubiquité). Nous nous devons de rappeler à cette même administration que nous sommes dans le cadre d'un contrat quadriennal et que logiquement il devrait être respecté dans son ensemble. À noter que les étudiants ont leur cours tronqués pourtant ils ont payé intégralité des frais d'inscription.
Nous nous voyons évidement bien dire plus tard à nos futurs employeurs « je n'ai pas pu voir cette matière vous comprenez, elle est dans mon master mais je n'y ai pas accès ! » maintenant on doit choisir en fonction du planning et non plus en fonction de notre ambition professionnelle.
- des étudiants convoqués en examen terminal voient leur examen annuler à la dernière minute pour être reporté une semaine plus tard : problème informatique !
- ne parlons même pas des cours de 8h à 19h sans pause déjeuner pour quelques étudiants peu nombreux qui n'ont pas misés sur les bonnes options.... Mais rassurez-vous en mettant des options en même temps et en cumulant les 10h de cours magistraux en une journée, les étudiants arrivent toutefois à avoir 3 ou 4 demi journées sans cours.... sauf bien sur quand on les prévient deux jours à l'avance d'une récupération de cours parce qu'un enseignant ne savait pas qu'il devait venir enseigner son cours le lundi matin et qu'il l'apprend par l'administration, pendant que ces étudiants l'attendent sagement en amphi...
- le seul compliment que l'on peut octroyer à l'administration, bonne juriste qu'elle est, c'est d'avoir réussi à donner dans les délais les dates d'examen un mois jute avant le début, enfin pour les écrits... nous n'évoquerons pas le cas des oraux.

Bref, ce panel peut faire sourire à l'énoncé, mais vécu au quotidien, cela entraîne une grogne de plus en plus grande pour nous étudiants : car c'est notre avenir professionnel que nous envisageons à travers nos choix pédagogiques et non un choix de programme pour nous divertir.

jennifer a écrit: - ne parlons même pas des cours de 8h à 19h sans pause déjeuner pour quelques étudiants peu nombreux qui n'ont pas misés sur les bonnes options.... Mais rassurez-vous en mettant des options en même temps et en cumulant les 10h de cours magistraux en une journée, les étudiants arrivent toutefois à avoir 3 ou 4 demi journées sans cours.... sauf bien sur quand on les prévient deux jours à l'avance d'une récupération de cours parce qu'un enseignant ne savait pas qu'il devait venir enseigner son cours le lundi matin et qu'il l'apprend par l'administration, pendant que ces étudiants l'attendent sagement en amphi...